Peter Pan [Terminé]

Identité ¤
Nom : Pannersonn
Prénom : Peter
Nom dans votre monde réel : Peter Pan
Âge : 19 ans
Métier :
Situation : [] Disney

More ¤
Physique (5 lignes minimum) :

Vous vous souvenez de Peter Pan, je présume ? Oui, le gamin qui refusait de grandir et qui vivait bienheureux au Pays Imaginaire, la deuxième à droite puis tout droit jusqu’au matin. Un éternel sourire aux lèvres de son visage mutin, des sourcils bien dessinés, des oreilles ayant quelque chose d’elfique. Et puis ce grand regard joyeux et candide si plein de cette éternelle innocence qui le caractérise bien. Bien, vous voyez de qui je parle ? Le gars aux cheveux continuellement en bataille sous son couvre-chef vert à la Robin des Bois avec une jolie plume rouge, à la tignasse ébouriffé d’un brun tirant sur le roux et à l’air farceur. Celui qui s’habille toujours avec la même tunique verte mal découpée, qui porte des collants et des espèces de mocassins comme chaussures ? Qui a un perpétuel poignard accroché à sa ceinture ? On parle bien de la même personne, hein ? Le bambin qui jugeait son 1m30 satisfaisant et qui ne voulait absolument plus grandir, qui trouvaient les adultes indignes de son intérêt et qui ne désirait absolument pas passer par le cap de l’Adolescence. Oui ! C’est bien de lui que je parle ! De Peter Pan.
Et bien si vous saviez ce qu’il est devenu ! Mon dieu, accrochez vous bien, cela va vous faire un choc. Comment se douter que le seul habitant du pays imaginaire à ne pas changer subirait une telle transformation en arrivant en France ? Et bien, premier changement notoire et de taille : Peter a grandi. Finis les vêtements du rayon enfant, il s’agit désormais d’un beau jeune homme d’à peine 19 ans. Plutôt petit, tout de même avec 1m67 vous me direz, n’empêche que c’est bien trente sept centimètre de plus. Ses traits se sont affinés, fini les rondeurs de l’enfance, notre bonhomme à désormais bel et bien l’allure d’un ravissant jeune homme. Il n’a quasiment rien gardé de son ancienne apparence, ses cheveux se sont foncés quand à ses yeux, eux, se sont plutôt éclaircit jusqu’à prendre une teinte vert olive. Mais il ne faut pas s’en faire, il reste toujours notre cher petit Peter Pan dans ses mouvements. Une démarche fière et assurée quoique légèrement comique car il n’est pas adapté à marcher, n’ayant pas retrouvée son amie clochette, il ne peut en effet pas voler. Ses grimaces symboliques et son air désinvolte et franc. Ses boucles qu’ils ne coiffent toujours pas et sa façon de s’habiller pour s’habiller. Même avec des années en plus et une apparence totalement différente, c’est toujours le même.

Caractère (5 lignes minimum) :

Et bien Peter, même adulte n’a absolument pas changé. Quel adjectif simple pourrait le décrire au mieux ? Curieux ? Farceur ? Aventureux ? Ou un peu de chaque ? La quatrième proposition est la bonne, Peter n’a pas vraiment de personnalité bien définie. Disons, pour faire court, qu’il était enfant et que les enfants changent en passant à l’âge adulte. Hors, lui y est entré sans la préparation de l’adolescence, cette période ou on se façonne sa véritable personnalité. Donc quoi ? Peter aurait-il manqué une expérience essentielle de sa vie et serait, du coup, totalement détraqué ? Non, pas vraiment…En fait, Peter est ce qu’on pourrait un adolescent tardif ou, un adolescent. Il n’a pour l’instant pas vraiment de personnalité définie et change facilement d’avis. Il ne sait pas encore tout à fait s’il est vraiment gentil ou méchant. Quand aux filles…Et bien, c’est comme si ils les voyaient pour la première fois. Alors pour l’instant, notre jeune garçon si confiant est légèrement indécis bien qu’il essaye de le masquer. Après tout, les autres personnages de Disney semblent s’être tout à fait adaptés à leur nouveau mode de vie, non ?

Bien, passons désormais à l’image qu’on peut avoir de lui lorsqu’on lui parle pour la première fois. Déjà, il tourne toujours ses phrases d’une manière enfantine et avec un vocabulaire plus ou moins simple selon son humeur. Et quand il ne trouve pas l’expression qu’il cherche, il invente un nouveau mot et vous le sort comme si il s’agissait d’une chose des plus naturelles. Il ne semble pas connaître l’embarras et annonce tout de go les sujets les plus délicats. Toujours souriant qu’importe la personne avec qui il dialogue, il reste sympathique. Curieux, de cette curiosité d’enfant il est resté dans son habitude de poser pleins de questions et de ne pas s’arrêter jusqu’à ce qu’on lui fasse clairement comprendre qu’on en a assez. En effet, il ne semble pas comprendre les différentes subtilités qui peuplent le monde des adultes. Avec lui, on ne sait jamais si le sujet de la conversation est vraiment sérieux car il plaisante de tout et de rien, ce qui peux parfois s’avouer déroutant voir énervant.

Quand on le connaît bien, on ne le connaît encore pas assez. De toutes les personnes qu’il côtoyait dans son univers, seul la Fée Clochette pourrait prétendre savoir quelque chose de lui. En effet, Peter reste très mystérieux. Le fait qu’il ne soit jamais vraiment sérieux aide beaucoup. Après tout, quand on discute de tout et de rien comme d’une broutille, comment les gens vous croiraient-ils pour de vrai ? Et si les gens ne vous croient pas, cela veux donc dire qu’ils ne peuvent pas dire vraiment savoir votre façon de penser et donc qu’ils ne vous connaissent pas. Sa personnalité toujours aussi ambigüe fait que personne ne peux vraiment le considérer ni comme un véritable ami ou ennemi. Par exemple, regardez, depuis le temps qu’il combat le Capitaine Crochet il a eut mille occasion de le jeter aux crocodiles, non ? Et bien non. En fait il joue avec la vie. Il a besoin de se disputer avec Crochet tout comme il a besoin d’être admiré par les Garçons Perdus ou les Sirènes. Et comme il se retrouve dans un tout nouveau monde ou il ne connaît personne, il cherche à retrouver très vite des ennemis et des admirateurs, par pure nécessitée. Parce qu’il a toujours vécut avec et qu’il ne voit pas comment s’en passer.

Parlons maintenant de ses sentiments. Et bien…Comment dire, Peter n’a jamais vraiment aimé personne au sent propre du terme. Il aimait bien Clochette mais il la considérait surtout comme sa meilleure amie, comme la petite créature si gentille avec lui qui lui permettait de voler, qui semblait comprendre toutes les peines qu’il n’osait pas dévoiler. Alors, quand il va la voir aussi grande que lui, pouvant s’exprimer, ça va lui faire bizarre bien sûr. Il n’avait jamais vraiment pensé à une éventualité pareille…
Quand à Wendy est bien pareille, ses sentiments sont flous à son égard. Il aimait beaucoup la fillette qui le changeait un peu de son quotidien, qui semblait connaître toutes ses aventures et qui lui disait qu’elle était tellement heureuse, qu’elle voulait l’embrasser. Il n’avait pas comprit le mot et, personne n’ayant prit la peine de le lui expliquer, ne le comprends toujours pas d’ailleurs. Mais pareille, il savait qu’elle devrait repartir, de plus il était bien trop dans son univers, petit roi contrôlant tout le monde pour vraiment envisager un tel bouleversement que de « tomber amoureux pour de vrai » et gardons dans l’esprit que pour Peter, aimer c’est grandir. Or, on ne se souvient que trop bien qu’il ne souhaitait absolument pas grandir.
Et pour la Capitaine Crochet ? Là encore, il ne le déteste pas vraiment, il aime juste bien l’embêter. Après tout, il a toujours fait ça, pourquoi changer ses bonnes vieilles habitudes ? Il ne les as pas encore retrouvé dans le monde réel et les cherche avec acharnement. Peter a véritablement besoin de retrouver les éléments de son univers. Et puis, si il pouvait revoir Clochette aussi…La petite Fée commence à vraiment lui manquer



Histoire (8 lignes minimum) : [

Peter Pan…Mais si, vous le connaissez tous ! A quoi cela me servirait de vous écrire sa vie en long, en large et en travers ? Non ?! Vous insistez vraiment….Bah, d’accord, puisque c’est vous, je peux bien faire un petit effort….

Alors….

Il était une fois, dans une petite banlieue de Londres dont le nom vous est totalement inutile, une petite maison, comme il y en avait tant d’autre à l’époque. Cette maison appartenait à un tout jeune ménage qui venait d’avoir son premier enfant. Un jeune garçon aux beaux cheveux bruns ondulés dénommé Peter. Il s’agissait d’un bambin de trois ans à peine, toujours souriant, s’efforçant de gazouiller quelques mots pour se faire comprendre. Il était bien connu dans le quartier, ce gamin jovial, si expressif pour son âge qui faisait la fierté de ses parents. Comment s’imaginer qu’un jour le petit Peter viendrait à disparaître ? Que les recherches effectuées par la police ne donneraient rien ? Comment pouvoir seulement songer à la peine de ses parents, abattus convaincu du pire pour cet enfant qu’ils chérissaient tant ? Comment à le voir, aujourd’hui dans son landau, les gens qui l’observait un sourire rêveur aux lèvres auraient-ils pût se douter que Peter ne grandirait pas dans cette petite banlieue de Londres ? Qu’il ne passerait même pas son enfance en Angleterre ? Mais plus loin, bien plus loin, là où personne ne songerait jamais à le chercher…Dans le monde des rêves, au Neverland plus couramment appelé le Pays Imaginaire…

Haha ! Disney ne vous l’avait pas raconté celle-là, pas vrai ? Eh bein quoi les gens, vous ne pensiez tout de même pas que les personnages Disney sont nés tout grand ? Allons, allons, nous parlons de Peter Pan, il faut bien lui raconter son enfance tout de même. Je disais donc…

Le Neverland, vous connaissez ? La deuxième à gauche puis tout droit jusqu’au matin. On y accède avec des rêves et de la poussière de fée. Cela explique donc tout. Peter était tout simplement tombé de son berceau. Et tout le monde sait que les fées s’occupent des enfants tombées de leur berceau. Alors, elles prirent soin de Peter et voyant que personne ne pensaient à chercher de leur coté pour le réclamer, finirent par s’attacher à lui. Evidemment, elles ne l’éduquèrent pas au Pays Imaginaire, il fallait tout d’abord qu’il grandisse un minimum avant de l’y faire entrer. Vu qu’une fois dedans, on ne grandis plus. C’est donc à l’aube de ses onze ans qu’elles lui proposèrent d’y entrer. Peter refusa tout d’abord, préférant retrouver sa mère dont il ne gardait qu’un faible souvenir, une présence rassurante, mais lointaine…Les fées, déçuent, exaucèrent son souhait et l’accompagnèrent jusqu’à son ancienne demeure. Malheureusement, avant d’entrer, Peter eut l’idée de regarder par la fenêtre. Et il vit un spectacle qui le fit entièrement changer d’avis. Un autre enfant avec SA mère…Un enfant qui devait être son frère…Un enfant choyé, protégé au sein d’un foyer…Les larmes aux yeux, le jeune garçon revint sur ses pas et retrouva les fées, les suppliant de le faire partir de ce monde, si cruel et si injuste. Qui lui semblait incompréhensible….

Alors, surpris ? C’était le but, chers amis, c’était le but. Pauvre petit Peter, n’est-ce pas ? Détrompez vous, il était bien sur son Ile, très bien même….

Le Neverland ou Pays Imaginaire. Un endroit ou rien ne change jamais…Les Fées veillèrent en tout point au bien être de Peter, bien vite surnommé Peter Pan pour une raison mystérieuse et floue. Elles lui amenaient parfois de nouveaux petits camarades, éduqués, comme lui, par leurs soins. Cette petite bande, il l’appela bien vite « Les Garçons Perdus ». C’était une amitié tenace qui les liait les uns aux autres. Et puis, il y avait aussi Clochette…Comment s’étaient-ils rencontrés tous les deux ? Personne n’en savait rien et ils n’en parlaient jamais. Néanmoins, tout le monde pouvait affirmer qu’ils étaient inséparables. C’était donc une existence heureuse, que vivait notre cher Peter, avec sa meilleure amie la petite fée, sa bande de copain et un méchant Pirate à persécuter. Le Capitaine Crochet, maître de l’Ile avant l’arrivée de Peter qui mène depuis une guerre sans merci au jeune garçon. Tout était beau, tout était bien au Pays Imaginaire. Peter finit même par en oublier son pays d’origine. Sauf bien sûr, lorsque les enfants perdus lui demandèrent comment celui-ci était fait, qu’ils voulurent une preuve de son existence, que Peter alla la chercher et qu’il perdit son ombre dans la chambre d’enfant de Wendy et les autres enfants Darlings…

La suite, vous la connaissez ou sinon, allez immédiatement vous achetez le DVD du film ! Bref, Peter emmène les Darlings sur son Ile en se faisant découvrir lorsqu’il revint chercher son ombre. Ils s’amusent comme des petits fous pendant la fête des Indiens mais…Un tunnel s’ouvre alors que Peter commence l’assemblée…Que se passe-t-il ? Pourquoi n’est-il plus près du feu ? Où se trouve-t-il ? Tant de questions encore sans réponses…

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